القائمة الرئيسية

الصفحات

Comparatif 2019 : quelle est la meilleure enceinte connectée ?

Comment choisir la meilleure enceinte connectée ?

Les enceintes connectées dotées d'un assistant vocal connaissent un succès croissant. Et pour cause, elles proposent un potentiel d'utilisation très étendu, capable de gérer un grand nombre de missions. Que ce soit l'activation de certains appareils connectés, écouter de la musique sur Spotify ou Deezer, lire une recette de cuisine à haute voix ou contrôler la température intérieure, leur utilité ne cesse de croître.

Mais il faut être attentif au choix des enceintes connectées, chacune proposant un assistant particulier qui n'est pas forcément compatible avec vos applications préférées ou vos équipements connectés. Entre Alexa, Siri ou Google Assistant, il existe des différences parfois importantes et il convient donc de bien évaluer si votre futur assistant personnel sera adapté.


1. Bose Home Speaker 500 : quand Bose travaille de concert avec Alexa



bose home speaker 500.jpg





Bose fabrique depuis longtemps des enceintes sans fil et, avec le lancement de son dernier modèle, le Bose Home Speaker 500, l'entreprise souhaite attaquer frontalement le marché de l'enceinte connectée.

Une conception haut de gamme

Dans l'ensemble, la Home Speaker 500 est très impressionnante, avec sa forme elliptique et son boîtier en aluminium anodisé, nous avons devant nous un très bel objet. Sur le devant de l'enceinte se trouve un petit écran couleur qui affiche les illustrations de l'album lorsque vous écoutez de la musique ou l'heure lorsque l'enceinte est en veille. L'éclairage se règle automatiquement afin que vous ne soyez pas ébloui lorsque vous l'utilisez dans des conditions de faible luminosité.
Globalement, elle attire l'oeil. Bien que la Home Speaker 500 ait été optimisé pour la commande vocale, il comporte, également, des boutons pour les fonctionnalités de base, ainsi que six boutons de préréglage que vous pouvez programmer pour lire votre playlist, station de radio ou album préféré.

Alexa très performant

L'un des principaux arguments de vente du Home Speaker 500 réside dans l'utilisation d'une technologie maison concernant la captation des micros, ce qui permet à l'enceinte de capter des commandes même lorsque la musique est très forte. De plus, l'enceinte contient 8 micros qui permettront de capter votre voix quelque soit votre distance par rapport à l'enceinte.

À l'heure actuelle, la Home Speaker 500 prend,seulement, en charge Alexa , mais Bose envisage de mettre à jour son appareil pour prendre en charge Google Assistant au premier trimestre 2019.

Seul reget que nous ayons, à l'heure actuelle l'application Bose vous permet de profiter de quelques services de streaming : Spotify, Amazon Music, Deezer et TuneIn. Espérons que lors de prochaines mises à jour, Bose aux plus mélomanes d'entre vous en intégrant Qobuz, par exemple.

La signature Bose reconnaissable entre mille

Bose a encore une fois choisit une signature en W. Celle-ci vous permettra de profiter d'une mise en avant sur les basses, les médiums et les aigus. Si celle-ci vous permet de profiter d'un son chaleureux, vous serez loin d'un rendu hifi.
En revanche, la mise en avant excessive des basses peut être facilement rectifiée par l'égalisateur présent dans l'application.

Notre avis sur la Bose Home Speaker 500





L'entreprise américaine s'est fait une spécialité dans le monde audio, et plus précisément dans le haut de gamme. Logiquement, elle propose des enceintes également sans fil, multiroom pour répondre à une clientèle plus mobile. Mais elle a dû se lancer dans une nouvelle aventure, celle des modèles dits « intelligents » dotés d'un assistant vocal pour contrer la main mise annoncée de leurs propriétaires Google, Amazon ou Apple, en voulant les surpasser par une meilleure qualité audio afin de justifier son prix bien plus élevé (229 euros) que l'Echo Spot.

Solide, pratique, mais à connectivité limitée

Elle reprend tout ou presque de sa cousine Play:1, en mode unicolore (blanc ou noir), sous forme de monobloc pesant 1,85 kg, haut de 16 cm et de diamètre 12 cm entouré d'une grille centrale, la partie arrière comportant la prise RJ45 pour connecter en réseau et le bouton d'appairage Wi-Fi, sans prise mini-jack.

Posée sur un socle inférieur, elle est surmontée du plateau sur lesquels sont disposés les boutons tactiles de lecture/pause, de volume, de passage au titre précédent/suivant et de désactivation micro (avec voyant d'état en façade). L'assistant vocal n'est pour le moment que compatible Amazon Alexa, mais Sonos a promis une ouverture à terme à Google Assistant. Vous pouvez ainsi demander, lorsque le micro est activé, la météo du jour, la configuration d'une alarme pour le lendemain matin, et bien évidemment de jouer de la musique.

Excellente restitution et paramétrable

Avec un tweeter et un haut-parleur medium/graves, la Sonos One produit un son très agréable sur la majorité du spectre, sans trop de distorsion et d'une puissance suffisante pour une pièce de 15 m².

Bien que l'enceinte fasse partie des meilleures de sa catégorie, l'application contient une fonction TruePlay permettant de régler la balance automatiquement en une poignée de minutes via votre smartphone (restreinte toutefois à un iPhone ayant iOS7 minimum) afin de contenter les oreilles des plus audiophiles d'entre vous. Les six microphones bien calibrés se chargent de vous écouter dans toutes les directions, et permettre ainsi une commande vocale précise, pour par exemple demander un morceau de la plateforme Amazon Music, mais aussi Spotify, Deezer et TuneIn. Pour les autres de type Google, Apple, Soundclound, Qobuz ou Tidal, il faudra passer par l'application Sonos.

Un appairage très intuitif, mais fermé

Connectée, la Sonos One remplit sa fonction haut de gamme en étant capable de s'appairer avec une autre enceinte pour créer un système audio voire s'intégrer à un ensemble multiroom. Cela passe ainsi exclusivement par le Wi-Fi via un réseau fermé, heureusement très simple grâce à l'application mobile.

Pas de fonction Bluetooth donc, pour une connexion rapide. Initialement limitée à un couplage avec une Sonos One, elle peut améliorer votre expérience d'écoute avec tout modèle de la marque, une Play:1 pour du stéréo, une barre de son Playbar/Beam pour votre TV, ou un groupe composé de Play:5 et d'un caisson de basses Sub.

Notre avis sur la Sonos One

Au son de très belle qualité configurable selon la disposition, très bien conçue avec une navigation claire que ce soit par ses boutons tactiles ou l'application, la Sonos One fait oublier qu'elle n'est que Wi-Fi, qu'appairable avec des enceintes du fabricant, et encore limitée à Amazon Alexa, et se propose à un prix plutôt accessible.

3. Apple HomePod : limitée aux utilisateurs Apple


homepod.jpg




La beauté typique d'Apple

Un style minimaliste, des lignes épurées et des finitions sans la moindre imperfection à relever. On est bel et bien face à un produit Apple, respectant scrupuleusement l'une des signatures emblématiques de la marque concernant le design. La construction donne une bonne impression de robustesse, mais n'est pas conçue pour faire face à certaines agressions comme l'eau.

Du côté des contrôles, la partie supérieure du HomePod accueille une surface intégralement tactile frappée uniquement d'icoônes, permettant de gérer le volume. Un appui court permet de lancer ou stopper la lecture ou de la musique, un double tapotage charge le morceau suivant, un triple permet de revenir au début du morceau et même à la piste antérieure et enfin un appui prolongé permet de déclencher Siri, qui témoignera sa disponibilité par un signal lumineux.

Un assistant vocal précis, mais peu utile

Commençons par un bon point : la reconnaissance vocale. Elle se montre précise grâce à 6 microphones répartis sur l'ensemble du cylindre. Une disposition qui permet une captation omnidirectionnelle et qui se montre précise, y compris lorsque les enceintes sont actives.

Mais à quoi bon un assistant au regard des restrictions qu'impose le HomePod ? Précisons d'abord que Siri se limite à peu de fonctionnalités disponibles par rapport à Alexa ou le Google Assistant. De plus, l'enceinte n'embarque aucune touche pour couper le micro, obligeant à désactiver l'assistant en parlant à haute voix. Une aberration qui s'accompagne du verrouillage classique de la marque concernant des applications et équipements tiers, ce qui interroge sérieusement sur l'intérêt d'une enceinte connectée aussi peu fonctionnelle.

Un son de qualité une fois configurée

Reste enfin la qualité sonore. Le HomePod se distingue des autres enceintes par sa capacité à adapter sa performance sonore en fonction de sa position dans une pièce. Une aptitude qui lui permet de restituer la plupart du temps un son équilibré, notamment à proximité d'un mur, comme c'est souvent le cas avec une enceinte. Mais ce calibrage automatique ne peut pas être désactivé et oblige donc l'utilisateur à composer avec, y compris s'il n'est pas optimal.

Proposant un woofer et sept tweeters, la puissance totale délivrée est plutôt importante et évite ? si le calibrage automatique est réussi ? des distorsions gênantes. Mais encore faut-il que le calibrage soit bon, ce qui n'est pas tout à fait certain.

Notre avis sur le Homepod d'Apple

Si le HomePod est un bel objet, il est cependant d'une grande frustration dans son utilisation. On retrouve ici à la fois les vertus et les défauts d'Apple, qui se montre particulièrement paternaliste avec ses utilisateurs, leur interdisant bon nombre d'applications tierces, de personnalisations du son ou bien sa manie à verrouiller son interface. Un bel objet, dont le prix prohibitif pour des qualités moyennes n'en fait pas une alternative vraiment viable.


4. Google Home Max : un assistant vocal performant


home max.png




Un design sobre, mais plus volumineux

Côté design, la taille est évidemment le premier changement qui saute aux yeux, tant son gabarit l'éloigne grandement de ses versions standards et Mini. Mais malgré cela, le look de l'enceinte respecte les mêmes codes que ses petites sœurs, avec une approche épurée et arrondie.

La grille frontale est recouverte d'un tissu opaque qui laisse transparaitre discrètement les indicateurs LED. Quant aux contrôles, le style minimaliste prévaut tout en se dotant d'une originalité : le contrôle du son. Ce dernier passe par un glissement du doigt vers la droite ou la gauche du panneau supérieur. Un choix plutôt original et séduisant, qui ferait presque oublier l'absence de contrôles pour passer d'une piste à l'autre.
Reste enfin le panneau arrière, qui propose notamment un bouton marche/arrêt du microphone, mais aussi une prise jack 3,5 mm, ce qui change des précédents modèles : un petit progrès qui n'est pas de trop.

Une reconnaissance vocale irréprochable

Disons-le sans attendre, la Home Max offre une reconnaissance vocale sans défaut. Contrairement à la Google Home et la version Mini qui ne comportaient que deux microphones, ce nouveau modèle repose sur 6 microphones pour capter la voix de l'utilisateur.

Et le résultat est plus que convaincant. En plus de commandes vocales parfaitement comprises dans une pièce calme, la position et la distance de l'utilisateur, y compris dans une pièce voisine, ne semble pas effrayer la Home Max. Seul un environnement bruyant semble légèrement l'affecter, mais uniquement si la distance est trop importante. Bref, difficile de lui reprocher quoi que ce soit ici.

Une qualité audio qui demande à s'améliorer

Reste évidemment la qualité sonore. Ici, Google propose deux woofers de 4,5 pouces et deux tweeters de 0,7 pouce. Ils sont par ailleurs combinés à un calibreur automatique qui adapte la sortie sonore de l'enceinte en fonction de sa position. Une fonctionnalité qui rappelle ici le HomePod d'Apple.

Et le résultat est plutôt réussi. Faisant mieux que son concurrent à la pomme, l'enceinte de Google offre une bonne puissance de sortie avec une distorsion plutôt réduite, y compris à un fort volume. En outre, le son est plutôt homogène et le calibrage demeure suffisamment précis pour être pertinent. Si on est certes loin de la qualité des constructeurs historiques d'enceintes, le résultat est plutôt encourageant pour le futur.

Notre avis sur la Google Home Max

La Google Home Max propose ici une entrée discrète, mais réussie dans un univers où la concurrence est redoutable. Si la qualité de la reconnaissance vocale et la construction sont plutôt irréprochables, la qualité du son reste encore perfectible, même si les résultats demeurent un minimum satisfaisants.


5. Amazon Echo Plus - 2ème gen : Alexa au service de la domotique


echo plus




génération d'enceintes connectées Echo, Amazon, est revenu à la charge en 2018 avec une deuxième version sobrement nommée « Echo Plus ». La firme de Jeff Bezos opte pour une enceinte plus proche de l'originale et introduit une nouvelle fonctionnalité le « hub Zigbee ».

Fort de son expérience et de son avance prise dans le domaine des enceintes connectées, Amazon propose une nouvelle version d'Echo Plus. Cette deuxième génération sera disponible en novembre 2018 en France. Si elle ne révolutionne pas le marché, elle apporte quelques petites fonctionnalités supplémentaires qui raviront les mordus de nouvelles technologies. Le « hub Zigbee », mis en avant par la firme de Seattle, permet à votre enceinte connectée de configurer et de contrôler les autres appareils connectés de votre intérieur.

Un design assez semblable à sa grande sœur

Au niveau du design, l'enceinte connectée Amazon Echo Plus ressemble à s'y méprendre à la toute première version : l'Echo. La première génération lancée en 2017 avait opté pour un nouveau style, là, Amazon revient à des bases plus classiques. Sur le dessus on retrouve 4 boutons : le réglage du son (plus et moins), la touche action, et celle pour gérer les anneaux lumineux. Son revêtement en tissu rappelle également les premières enceintes d'Amazon. Cette nouvelle version retrouve la même taille que l'Echo « simple » avec 148 mm de hauteur, mais gagne un peu en épaisseur (99 mm contre 88 mm pour l'originale).

Une reconnaissance vocale toujours plus précise...

La reconnaissance vocale est la clé de voute des enceintes connectées. Déjà salué par la critique avec le modèle Echo, Amazon choisit encore de la perfectionner avec cette génération. Armée de la technologie « beamforming » et d'un réducteur de bruit, l'Echo Plus promet de reconnaître les injonctions données où que vous soyez dans la pièce, même en présence de nuisances sonores. Bien sûr, Alexa, l'assistant vocal de la marque, agrandit également son champ de compétences. D'une simple phrase, il est possible de connaître son calendrier, la météo du lendemain, le restaurant en vogue ou bien de lancer une musique. Une multitude de fonctions que chacun prendra soin de découvrir.

... Et une qualité audio revue à la hausse

Si la qualité audio des premières enceintes connectées d'Amazon avait fait l'objet de vives critiques de la part des consommateurs à cause d'un son « un peu pauvre », l'Echo Plus montre une belle progression dans ce domaine. Exit le Woofer de 63 mm et le tweeter de 16 mm, cette nouvelle version propose un son Dolby 360° aux basses plus profondes et aux voix nettes. Sur la même musique, la différence s'entend clairement à l'oreille : le son est plus fort et plus net. Les paramètres de l'égaliseur restent configurables grâce à l'application. À noter qu'il est également possible de synchroniser deux appareils entre eux, et un caisson de basse pour obtenir un son stéréo 2.1.

Notre avis sur l'Amazon Echo Plus

Un design sobre, une reconnaissance vocale hyperfine, et un son de très bonne qualité, l'enceinte connectée Echo Plus tient la dragée haute à ses concurrents. Ajoutons à cela le Hub Zigbee, qui permet d'associer votre enceinte connectée aux autres appareils reliés de votre maison, et nous obtenons un véritable assistant d'intérieur. Sans compter sur les fameux « skills » d'Alexa qui offrent la possibilité à tout un chacun (si on s'y connaît un peu en développement informatique) de créer des compétences à celui-ci.

6. LG WK 7 : une enceinte qui ravira les amateurs de musique


lg wk7



Un design peu original et fragile

Côté design, la ThinQ WK7 ne propose pas d'innovations particulières. Avec ses dimensions supérieures à celles de l'Apple HomePod et sa conception cylindrique plus que familière, cette enceinte ne cherche pas à bousculer les codes des principaux concurrents comme Amazon.
À ce manque d'audace, s'ajoutent des finitions plutôt passables, la coque montrant des signes de fragilité, l'assemblage assez rudimentaire et une surface assez salissante. Heureusement, la surface supérieure de l'enceinte accueille un panneau de commande tactile intuitif et efficace, avec des touches augmenter/baisser le volume, lecture/pause et une touche permettant de basculer entre les modes wi-fi et Bluetooth. Reste le panneau arrière qui propose un discret bouton pour activer ou non le microphone.

Google Assistant avec une bonne oreille

Si seul Google Assistant est disponible sur ce modèle, son efficacité n'en est pas moins remarquable. Les deux micros placés sur l'enceinte proposent une captation efficace des commandes vocales.
Ces derniers sont en effet éloignés des haut-parleurs, une configuration rendue possible par la taille imposante de l'enceinte, et permettent une très bonne qualité d'écoute, y compris dans un environnement bruyant et peu importe la direction d'où provient le son de votre voix. Une réussite qui compense en bonne partie la construction de l'engin.

Un son de qualité

Mais le point le plus étonnant demeure la qualité sonore. Cette dernière est bonne, voire très bonne, mais uniquement quand certains paramètres sont désactivés. L'amélioration des basses ou la clarification des voix produisent un résultat inverse à leurs rôles, les rendant non seulement inutiles, mais aussi nuisibles.
Une fois ces deux paramètres désactivés, le woofer de 30 W, accompagné du tweeter, procure un son monophonique unidirectionnel de qualité. Les basses sont fort bien restituées et les médiums sont audibles sans être agressifs. Seuls les aigus demeurent parfois crispants, surtout à très haute fréquence.

Notre avis sur la Lg WK7

L'enceinte LG ThinQ WK7 n'obtiendra pas le prix de la meilleure enceinte connectée du moment. Mais il serait injuste de dire qu'elle ne remplit pas sa part du contrat. Capable de délivrer un son de qualité et proposant une écoute fiable et précise, elle pèche cependant par sa construction rudimentaire fragile. Un choix qui se répercute sur le prix toutefois, qui reste relativement accessible.

7. Marshall Acton II Voice : quand design rime avec performances


marshall acton ii voice.jpg

Acheter la Marshall Acton II Voice chez Amazon

Le style Marshall indémodable

Côté design, l'Acton 2 Voice respecte le style caractéristique de la firme. Prenant l'apparence d'une version miniature des amplificateurs, le revêtement en similicuir du châssis accompagné de sa façade en tissu frappé du logo de la marque sont du plus bel effet.

Les finitions sont par ailleurs impeccables. Sur le haut-parleur se trouvent des boutons de réglage du volume, des basses et des aigus, assistés de niveaux lumineux. Ils sont accompagnés par des boutons de démarrage, de lecture/pause et de sélection de la source. De plus, il est possible de choisir trois sources différentes : l'analogique jack de 3,5 mm, le Bluetooth et... le wi-fi.

Alexa et Google Assistant pour vous servir

L'ajout du wi-fi annonce évidemment un changement par rapport à l'Acton 2 d'origine, à savoir l'intégration d'un assistant vocal. Il sera possible à ce titre de choisir entre Alexa de chez Amazon et le Google Assistant. Pour s'adapter à la présence de cet assistant, l'enceinte se dote au passage d'un microphone à double canal prévu pour capter les voix, y compris à une bonne distance.

Un son surpuissant

Si Marshall innove son Acton 2 pour en faire une enceinte connectée, le constructeur reste néanmoins scrupuleux sur la qualité du son. L'enceinte nous propose une puissance colossale pour un format compact et avec des basses profondes.

Dans le détail, le volume sonore offre une telle puissance qu'il est improbable d'utiliser le maximum disponible. Les tweeters sont d'ailleurs d'une précision redoutable et offrent un son plus qu'appréciable, notamment sur certains instruments comme les guitares ou bien le chant. Quant aux basses, elles sont propulsées par un woofer de 30 W, nous faisant oublier qu'il est question d'un modèle compact et connecté. Seule une distorsion à un volume proche du maximum peut être relevée, ce qui n'est guère important, tant il est inutile de monter le volume à ce niveau.

Notre avis sur la Marshall Acton II Voice

Marshall impose clairement son savoir-faire inspiré de ses amplificateurs pour produire ses enceintes. Et l'Acton 2 Voice respecte pleinement ce contrat concernant la qualité de fabrication et de restitution du son. Reste cependant à déterminer la qualité des écoutes du microphone, surtout lorsque la musique s'échappe des puissants haut-parleurs que propose l'enceinte. Le tout demeure à un prix relativement proche de la version Bluetooth, ce qui ne représente pas un surcout prohibitif et la rend d'autant plus attractive.







هل اعجبك الموضوع :

Commentaires

التنقل السريع