De nouvelles violences ont marqué les manifestations anti-gouvernement à Bagdad et dans le sud de l'Irak, samedi. Au total, 63 personnes ont été tuées en deux jours, notamment lors d'attaques contre des QG de partis et de groupes armés.
Nouvelle journée de manifestations à Bagdad et plusieurs autres villes en Irak. Après une nuit de feu et de sang au cours de laquelle QG de partis et de groupes armés ont été attaqués, les forces de sécurité irakiennes ont essayé tant bien que mal, samedi 26 octobre, de venir à bout des manifestations réclamant la "chute du régime".
Selon la Commission gouvernementale des droits de l'Homme, 63 personnes ont été tuées ces deux derniers jours.
Celle-ci précise que la majorité des personnes tuées l'ont été dans les provinces de Missane et Zi Qar (sud), où les manifestants ont attaqué ou incendié des QG de partis, de responsables et de groupes armés.
Samedi, des protestataires ont incendié la maison d'un responsable à Nassiriya (sud). Au moins trois d'entre eux ont été tués par balles et 17 autres ont été blessés, selon la police et les services médicaux.

Nouvelle journée de manifestations à Bagdad et plusieurs autres villes en Irak. Après une nuit de feu et de sang au cours de laquelle QG de partis et de groupes armés ont été attaqués, les forces de sécurité irakiennes ont essayé tant bien que mal, samedi 26 octobre, de venir à bout des manifestations réclamant la "chute du régime".
Selon la Commission gouvernementale des droits de l'Homme, 63 personnes ont été tuées ces deux derniers jours.
Celle-ci précise que la majorité des personnes tuées l'ont été dans les provinces de Missane et Zi Qar (sud), où les manifestants ont attaqué ou incendié des QG de partis, de responsables et de groupes armés.
Samedi, des protestataires ont incendié la maison d'un responsable à Nassiriya (sud). Au moins trois d'entre eux ont été tués par balles et 17 autres ont été blessés, selon la police et les services médicaux.